Big thx to Matthieu for this link ! Cultissimo !
Et je rajoute celle là.
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Et je rajoute celle là.
Après l’Argentine, le Chili ! C’est sur…
Heeuuuu, où étais-je moi aujourd’hui ? On dirait qu’il y a eu un petit problème d’interprétation… Ah oui, je bossais et puis j’étais certain que ça ne le ferait pas. C’est con non des fois la certitude ? Bon, et bien next time pour le perfect glassy de 2m avec des tubes…
Nous voilà de retour d’une session un peu courte pour cause de sortie de Bordeaux incroyablement difficile. En tout cas on a allègrement pataugé dans des séries bien grasses et creuses. Du coup, La plupart de nos drops se sont terminés en mode « abort » sous peine de casse assurée… Reste que gloalement ce fut une session très agréable, plus particulièrement au moment où notre astre majeur a plongé dans la grande bleue.
J’ai le dos tourné et pffuit, ça balance un truc du genre au lever du soleil…
C’est certain, lire un blog australien où l’on évoque des choses qui font rêver debout les surfeurs n’est pas très malin en ce moment. Toutefois, revenant du pays basque le week end dernier, je suis en mesure de modérer la chose… enfin un peu (du moins parce que le pays en question est un véritable espace à part). Alors oui, il pleuvait. Alors oui, les vagues n’étaient pas bonnes. Néanmoins, nous avons, nous aussi, de quoi faire baver un peu les « Aussies » d’adoption. Au programme : une fête du piment à Espelette (where else, hein ?), accompagnée de grillades, de fromages, de sucettes colorées et, comme souvent, de chants basques autour d’un verre de bourru.
Mais ce WE fût aussi l’occasion de découvrir (outre un excellent repas, je tiens à le souligner encore une fois à nos hôtes) un breuvage maison à la framboise douceâtrement exquis et fort traître. Thx again @ Marie et Arnaud…
Voilà un blog qui fait bien bien envie. Myriam et Jean sont installés en Australie depuis quelques années maintenant… et ne semblent pas s’en lasser. Bien au contraire. Et je comprends avec encore plus d’acuité que notre hémisphère va s’enfoncer dans un hiver long, froid et sans doute sans surf. Et je ne parle même pas de l’ambiance actuelle qui règne en sarkofrance. Ouch. Donc je rêve de côtes australiennes, d’eau chaude, de plages de sable blanc et, pourquoi pas de business et de délocalisation ! Ah, les rêves quand ça vous tient.
Si vous voulez savoir pourquoi ces deux frenchies sont raides morts amoureux de l’autre bout du monde, pointez votre souris ici.